Sorties, promenades, randonnées ou entraînements.

Le soleil est toujours présent et le changement d’heure a bien des avantages pour nous pratiquants de plein air. Grâce aux technologies si pratiques pour prendre et garder le contact, plutôt que de rouler en ordre dispersé nous nous regroupons dans la roue de Ludo pour une rando variée.

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Avant même le départ, premier contact avec les chasseurs locaux qui ont bien délimité leur espace de jeu avec les panneaux règlementaires. Ils nous expliquent clairement les limites de leur terrain de chasse du jour et nous souhaitent une bonne promenade.

Les 2T sont oranges et les 4T bleus, et malgré le petit groupe il y a un bel échantillon de motos. Le café et les croissants sont là, ainsi que le local pour se changer confortablement. Malgré le soleil qui pointe, c’est avec veste et gants chauds que le départ est donné.

Un peu de piste pour s’éloigner de la zone de chasse et on trouve rapidement une longue grimpette pour s’échauffer.

La suite est tout aussi plaisante avec une bonne montée en technicité des passages. Il y a de la pente dans les deux sens et l’humidité bien présente complique par moment les choses.

Deux ou trois passages nécessitent quelques essais pour que tout le monde arrive au sommet, mais le grip est dantesque et c’est le physique qui comme souvent bride les ardeurs. Rapidement la veste s’allège et les gants passent en mode été. Décidément il ne fait jamais froid longtemps en enduro.

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Après un peu de jardinage passant de la terre meuble aux pierres les plus lisses avec bien sur un peu de boue, nous arrivons sur les chasseurs qui terminent leur matinée. La discussion est plus que sympathique, il faut dire que l’un des chasseurs se promène en moto de trial que d’autres sont d’anciens motards amateurs de gros 2T qui poussent… La conclusion de cette rencontre est pleine de sagesse, « il y a de la place pour tout le monde ».

Nous les laissons rejoindre l’apéro et non sans avoir vérifié qu’ils ne désiraient pas chasser l’après-midi, nous prenons la direction de grimpettes bien techniques situées dans la chasse pour « se finir en beauté ».

L’élan est coupé par un tas de grumes. Ajoutez cela à la fatigue et au manque de roulage, vous comprendrez que cette grimpette est restée infranchissable ce jour là. Heureusement Ludo nous a dégainé une autre option tout aussi amusante et c’est en sueur, les bras tétanisés mais souriants que nous terminons cette sortie.

Vivement la prochaine, mais en attendant place à la raquette de bad pour ne pas totalement s’encrouter.

Après une bonne nuit dans le gite confortable, le réveil n’est pas trop difficile. L’envie de rouler est toujours là, mais les gestes sont plus mesurés et les plus grands mouvement arrachent des grimaces aux plus anciens.
Heureusement que les « vieux » roulent en 250 4T pour préserver leurs organismes…

Pour l’échauffement direction le terrain, ça roule tranquille mais la transpiration arrive quand même après quelques passages. Nous profitons d’avoir le site pour nous seuls et repassons par les principaux obstacles pour réviser de la veille. L’Unimog et le saut de rivière ne sont pas au programme et sont d’ailleurs fermés.

Après un tour plus rapide entre les arbres, place au mode rando. En puisant dans mes souvenirs des derniers stages on rejoint le single souhaité direction « les sources ». Une belle trace entre les arbres avec peu de dénivelé mais jamais monotone. Le terrain sec donne un grip du tonnerre et tout le monde passe partout.

Cela sue un peu sur les roches et le passage en bordure de rivière apporte une fraicheur appréciable. On roule en mode liaison sans se presser pour rejoindre quelques spots plus techniques et jouer dans les grimpettes. La fatigue est présente et ceux qui n’ont pas la possibilité de rouler régulièrement marquent le pas et jouent la prudence.

Nico arrive à casser un cale pied et il y a du plastique qui souffre. L’heure tourne et l’apéro est proche, Valentin bien en forme nous incite à nous « finir dans de la merde ».
On improvise donc des traces qui sont un peu au dessus de notre niveau pendant que les autres papotent et nous donnent des conseils certes judicieux mais inapplicables 😉
Et enfin c’est dans de la roche truffée de fougères, ronces et autres branches que je laisse mes dernières forces avant de rejoindre le groupe qui est resté sur le chemin…

Après un bon apéro et un ultime repas l’heure est aux compte. L’organisation de Nico a fait merveille et c’est bouclé facilement.

Le rangement est rapide, tout le monde à sa dose de moto et il faut composer avec le trajet et le réveil matinal de lundi.

Nous quittons Loisirs Off-Road, son gite, ses hôtes et son site avec la ferme intention d’y revenir. Pour moins cher qu’un kit déco on a eu une sacrée dose de moto avec des conseils avisés et applicables.

Prochaine étape, revenir avec de la boue pour progresser dans ce domaine si sensible.

Environ 10 minutes de vidéo pour partager un peu nos souvenirs.

Un grand merci principalement à Nico (Blablacx) pour l’organisation. Et bien sur à tous ceux qui ont partagé de week-end : Damien (Meux) pour la tireuse arrivée à température, à Patrick pour les vins variés, Valentin pour la tarte aux pommes du vendredi soir, Nico (Nicosxrider) pour le désinfectant intestinal à la pomme, Ludo, Georges et Mathieu les Vosgiens pour leur bonne humeur et leurs participations diverses.

Salives et Loisirs Off Road, décidément des incontournables pour la pratique de l’Enduro.

Souvent l’idée d’un stage émerge mais la concrétisation est parfois pénible, surtout quand il s’agit de composer avec les agendas et les niveaux hétérogènes. C’est finalement via internet et grâce à la détermination de Nico que le groupe s’est constitué. Notre objectif du moment était de progresser un peu, de prendre beaucoup de plaisir à rouler et de se retrouver entre potes. La solution du stage sur mesure avec Romuald est idéale pour cela. Nous avons profité de ses conseils toute la journée du samedi avec du travail sur toutes les bases de l’enduro moderne.

Virages à plat, troncs, freinages, compressions, montées, pierres, racines, sauts, etc… dans l’ordre et le désordre avec des consignes adaptées à tous et un oeil acéré pour détecter les erreurs. Pour les erreurs l’avantage avec nous c’est qu’il y avait de la quantité et de la diversité…

Mais dans le détail ça donne quoi ?
Ben oui il est où le CR de 3 pages ?

Arrivée le vendredi soir à Salives en ordre dispersé en fonction des horaires de départs et des péripéties diverses. Patoche et moi sommes les premiers sur place, Damien arrive avec les Nicos et Valentin mais surtout avec la tireuse directement en température. On peut tester ça avec une part de tarte aux pommes en attendant les Vosgiens retardés par un remontage d’Husaberg tardif mais efficace.

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Samedi matin, grand soleil sur la Bourgogne et grosse volonté de rouler. Après un rapide échauffement sur de la ligne soft, Romuald nous indique une trace de référence et nous demande de rouler pour voir nos défauts sur quelques tours. En fait un seul tour est suffisant…

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Le boulot commence par la base pourtant si compliquée du virage à plat.

Les explications sont limpides et les consignes applicables. Le freinage de trappeur sur la terre est toujours aussi jouissif et il y a du disque qui couine dans tous les sens et des roues qui bloquent.

On passe ensuite aux compressions détentes pour passer pneus puis troncs de plus en plus gros en finissant par le fameux baobab de l’Enduro Top.

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Une dernière descente dans le sable impose le respect avec les ornière profondes, mais finalement avec la bonne position et un poil de confiance cela passe très bien dans les deux sens. Maintenant direction la pause pour le repas concocté par le Chef Nicolas.

L’après-midi direction une spéciale en ligne avec quelques passages savoureux et du travail sur un virage en appui. On rigole bien et l’ambiance est au top.

Cela se poursuit par un des grimpettes de tous types, avec ou sans pierres / racines / feuilles. Les exercices et les conseils sont au top, j’ai particulièrement été épaté par les montées à vitesse très réduite ou les départs dans la pente.

De retour sur le terrain on bosse un peu les sauts avant de finir la journée par une mousse bien méritée et une côte de boeuf.

Une bonne nuit et demain on retourne rouler en mode rando.

Voici la vidéo en version longue pour les plus patients.

 

La météo reste au beau pour ce week-end. Ce sera plus poussière que boue, mais on n’est jamais à l’abri d’une surprise de dernière minute.

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Samedi place à l’enduro avec un bon stage en perspective à Salives sur les terres de Loisirs-Offroad.

Le groupe est un peu hétérogène certes mais tout le monde sera là pour rigoler et progresser sur les conseils de Romuald.

En prime le dimanche ce sera roulage sur le site et un peu de rando pour les plus motivés.

La météo s’annonce au top, ce n’est pas ce week-end qu’on va progresser dans la boue 😉

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Partis d’Alsace, après quelques heures de route nous arrivons vendredi soir en Auvergne sous un grand soleil. Premier point positif le chalet est top et il y a deux buvettes sur le site.

Après les inscriptions c’est apéro puis repas arrosé puis digestif.

Samedi matin nous sommes inscrits au stage de 10h, donc direction la SP1 pour chauffer les bras et les moteurs. Une fausse prairie car tracée dans un ancien champ de maïs il y a des trous dans tous les sens et pas mal de pierres cachées. 2 ou 3 tours et on est déjà en sueur.

Nous rejoignons Antoine le moniteur qui s’occupe de notre groupe de 8. Un passage sur la spéciale dans les bois pour finir de nous chauffer et hop on va bosser les passages de tronc avec difficultés croissantes. Les explications sont claires et adaptées, bilan tout le monde passe au moins un tronc.

Maintenant direction la SP1 où après nous avoir regardé rouler Antoine essaie de corriger les plus gros défauts. Premier travail sur un virage simple avec la décomposition freinage / virage / etc… Ensuite plus dur avec un virage en dévers et pour finir un enchainement de courbes rapides.

A midi tout le monde est bien calmé et nous sommes contents de la pause repas.

Après midi rando avec les potes, nous sommes un petit groupe à partir sur la boucle bleue. 50 km annoncés, facile dans l’ensemble avec pas mal de poussière, un peu de boue quand même et un secteur hard compliqué. Il faut oser monter vite pour passer une zone sans adhérence. Sur le paquet de pilotes attroupés en bas de la montée rares sont les courageux à tenter le coup et finalement un seul franchira l’intégralité de la montée (un guide spécialisé dans les enduros extrêmes…)

Le moment cool de la sortie c’est de se faire rejoindre par Laurent Pidou qui va rester un bon moment avec nous. Quel pied de rouler en liaison en suivant sa roue.

De retour sur le site nous partons vers le chalenge trial. Dur dur de faire de la zone avec la Yam. Je n’ai plus de forces et impossible de sortir de la zone avec moins de 4 pieds. Philippe calme tout le monde en sortant avec 1 pied, avec une 520 de 2002 au pneus bien usés ! Seuls les guides et pilotes pro présent arriverons à sortir de la zone à zéro avec une moto d’enduro.

Direction la zone extreme pour le chalenge Straight rythme une course en parallèle sur la zone de franchissement. Un peu reposé et motivé en regardant les potes rouler je m’aligne au départ.
1er run assez efficace, mais ensuite avec la fatigue je fais deux fois la même erreur en arrivant sur le 1er gros tronc en 2ème. Je suis donc éliminé et franchement cela tombe bien car je n’avais pas assez de jus pour enchainer encore quelques runs.

Dans notre groupe c’est O’rel qui va le plus loin avec une 3ème place après une petite finale tendue. On regarde les pros rouler et c’est un autre monde.

Direction la douche et l’apéro. Bière au chalet, puis à la buvette en regardant le chalenge kart.

Un bon repas qui se ponctue avec les cadeaux liés aux différents chalenges. O’rel fait le carton plein : 1er sur la spéciale chrono, 3ème au trial (Philippe est 1er, Alain 2ème) et 3ème au Straight rythme. En plus il a même gagné à la tombola.

Nous ne sommes pas resté tard au repas, une bande de « parisiens » au comportement de gros lourds gâchant un peu l’ambiance.

Nuit arrosée à partir de 3 heures par un déluge d’eau. Idem au réveil. Quelques pilotes remballent les motos pendant que nous prenons le café.

Antoine notre moniteur de la veille se joint à notre groupe pour la rando du matin sur la boucle rouge. Nous avons du bol avec la météo en tout début de sortie car si le temps est frais la pluie est modérée. La boucle est roulante, mais le rythme est soutenu. Beaucoup de boue au programme et surtout une belle petite grimpette technique cause pas mal de sueurs. Départ d’un pré glissant, prise d’élan en virage et pente bien compliquée.

Ensuite encore du roulant, globalement sage avec quelques moments pour se réchauffer en roulant plus fort. Je suis épaté du comportement de la Yam dans le gras et les ornières, tant que ça pousse elle va droit et les arbres défilent sacrément vite. Un superbe terrain de cross, lieu d’entrainement privilégié de Pichon dans sa période active, nous est ouvert. Il est gorgé d’eau mais top à rouler.

La promenade se termine, certains filent directement à la douche après avoir débarbouillé la moto au jet pendant que Alain va jouer sur la SP1 et que je m’enfonce seul dans la spéciale dans les bois. Si elle était agréable et amusante le samedi, avec la pluie continue elle a pris une autre dimension. C’est très compliqué de garder la vitesse nécessaire même dans les petites montées, j’appréhende par avance la montée signalée hard mais au final la motricité combinée de la WR250F, du pneu neuf et du TUbliss à 600 grammes me hissent au sommet.

Par contre je fais l’impasse sur la zone Straight rythme et je fonce à la douche après avoir un peu lavé la moto.

Il est 14h quand nous passons à table pour encore un très bon repas. Décidément les Auvergnats savent recevoir !

Motos chargés, un dernier coucou aux potes et on rentre en Alsace avec un déluge quasiment continu sur tout le trajet, finalement on a échappé au pire en roulant le matin.

Très content de ce coup de moto, encore plus d’avoir revu des potes trop rarement croisés en ce moment, la vie reprend son cours et la prochaine sortie moto attendra.

Bon ok, c’est pas moi qui ai 35 piges cette année, mais ce n’est pas une raison pour manquer le coup. Surtout que là il y avait un sacrément bon morceau de moto au programme.

Si en Alsace rouler sereinement est une sinécure, il reste heureusement des régions où il fait bon randonner et où la cohabitation fonctionne. Forts de ce constat et avec un guide au top, nous sommes partis à 10 motos pour un trip de plus de 120 bornes à 99% TT.

Pour répondre à la majorité d’autrichiennes oranges ou bleues, deux Yam étaient présentes. Coté 2T on avait un large panel de la 125 à la 300 en passant par les 200 et 250, moins de variété coté 4T avec les vieux en 250 et le jeune en 350.

Impossible bien sur de vous décrire par le menu tous les moments sympas. Il y a bien sur eu de la rigolage, du froid, de la neige, un peu de grésil, un super apéro, un très bon repas, des traces à n’en plus finir, encore pas mal de rigolade et un retour avant la nuit.

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Par moment la chaleur s’échappait des casques et les pauses étaient méritées. Vivement la prochaine sortie.

Voici quelques images pour vous faire partager cette journée.

Mars était un peu frais, mais nous avons quand même profité de bons coups de moto.

Voici quelques souvenirs d’une rando/stage en groupe dans la roue d’Eric.

 

 

 

Première sortie sur invitation avec la nouvelle moto. Un bon tour avec les potes dans un secteur que je ne connais que trop peu.

Avec un petit groupe ça roule bien, on s’adapte bien sur aux limites de l’éclairage et de la navigation nocturne. Les grimpettes sont longues, il y a du dénivelé dans les deux sens. Le temps est franchement clément et nous profitons également de la vue sur les illuminations des villes et stations de ski. Tout va plutôt bien, l’éclairage adapté sur la WR250F se montre performant et la frontale en complément malgré sa puissance moindre fait très bien son office avec un faisceau large et uniforme.

On jardine un peu, il faut même parfois mettre pied à terre mais le sourire est là. Le petit 4T n’est pas forcément à son aise, mais c’est de toutes façons le pilote qui limite clairement l’ensemble. Dans une grimpette un peu technique, interrompue par un arbre couché, je me plante en partant trop tôt derrière Sergio qui lui même attends que Thomas libère le passage. Impossible de repartir et je n’ai pas envie de forcer sur la moto et je ne suis pas assez lucide pour voir la trace secondaire que Sergio a trouvé, donc demi-tour et nouvelle tentative avec plus de vitesse et surtout une piste dégagée. Tout va bien, mais avec la nuit j’évalue mal la distance qui me sépare de l’arbre et j’arrive trop vite… Je m’envole sur les pierres en freinant et tape le guidon contre l’arbre et je me récupère violemment sur le pied.

Dur de poser le pied, mais il faut redescendre, redresser les pontets qui ont un peu bougé. Les autres redescendent, de toutes façons la montée était un cul de sac et je n’ai plus l’envie de la retenter.

Il suffit de serrer les dents pour finir la sortie et nous arrivons à bon port après une autre bonne dose de grimpettes et descentes sans fin.

A mesure que la cheville se repose la douleur se manifeste. Je suis bon pour rentrer doucement et laisser la moto dormir dans la camionnette.

Bilan, pas de casse sur la moto, j’ai dépassé les 200 Km au compteur et avec cette sortie je peux considérer que le rodage est fini. Il ne me manque plus qu’une petite session cross pour avoir testé la moto sur la majorité des terrains que j’affectionne. Mais pour le moment, aircast et massages sont mes alliés, ainsi que quelques bons bouquins car je vais être privé de badminton et de moto pour quelques jours.

J’ai profité de la sortie neige du motoclub depuis la buvette. Les participants se sont bien amusé, malgré la neige collante. Ils ont échappé aux averses et sont tous rentrés ravis et fatigués.

Au programme de la journée encore une bonne dose de moto avec double sortie. Le matin bien cool avec les potes du forum, on roule en évitant les chasses. Christophe écourte sa sortie sur crevaison. Pour le reste du classique, principalement du roulant avec quelques grimpettes mais on n’a pas tiré dans les réserves.

L’après-midi c’est reprise de contact avec Jo avec qui je n’ai plus roulé depuis plusieurs années. Il étrenne sa nouvelle 250 EXCF 16 pour cette sortie en duo.

Avec lui pas de risques de rester bloqués, on enchaine donc avec un bon rythme les chemins glissants, quelques grimpettes qui piquent et même des passages bien bien techniques. Pas de chasse sur le secteur, quelques coupes de bois qui modifient l’itinéraire et pour finir la pluie qui arrive un peu en avance sur le planning.

Maintenant j’ai les bras qui tirent un peu, une moto à laver et à préparer pour les prochaines sorties, mais quel plaisir de rouler avec les potes.

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Vivement la prochaine.