Après un week-end à la météo idéale et aux activités variées, on se lance tardivement sur les chemins. Au programme un peu de transpiration et du vidage de tête.
Départ cool, ça grimpe et ça descend bien. On croise un gros groupe de chasseurs en pleine pause. Même si la chasse est fermée ils sont présents.
Il en est de même pour les coupes et les arbres au sol. Il faut souvent ruser pour trouver une trace, mais finalement on rigole d’autant plus.
Le petit groupe permet de jardiner pour retrouver des traces un peu mises en sommeil. Cela donne des idées et des options pour les futures boucles.
Les premières gouttes apportent un peu de fraicheur, elles sont rapidement rejointes par l’orage très proche et le déluge arrive en même temps que les éclairs. Avec l’humidité, les branches deviennent soudainement moins sympa à passer.
Encore un changement de programme, car les éclairs approchent, donc par prudence on décide d’éviter les crêtes prévues et prenons la direction du retour sous une douche froide.
Les bottes étanches se remplissent par ruissellement, les masques sont inutilisables et c’est soulagés qu’on passe des vêtements secs avant d’attaquer l’apéro.