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Partis d’Alsace, après quelques heures de route nous arrivons vendredi soir en Auvergne sous un grand soleil. Premier point positif le chalet est top et il y a deux buvettes sur le site.

Après les inscriptions c’est apéro puis repas arrosé puis digestif.

Samedi matin nous sommes inscrits au stage de 10h, donc direction la SP1 pour chauffer les bras et les moteurs. Une fausse prairie car tracée dans un ancien champ de maïs il y a des trous dans tous les sens et pas mal de pierres cachées. 2 ou 3 tours et on est déjà en sueur.

Nous rejoignons Antoine le moniteur qui s’occupe de notre groupe de 8. Un passage sur la spéciale dans les bois pour finir de nous chauffer et hop on va bosser les passages de tronc avec difficultés croissantes. Les explications sont claires et adaptées, bilan tout le monde passe au moins un tronc.

Maintenant direction la SP1 où après nous avoir regardé rouler Antoine essaie de corriger les plus gros défauts. Premier travail sur un virage simple avec la décomposition freinage / virage / etc… Ensuite plus dur avec un virage en dévers et pour finir un enchainement de courbes rapides.

A midi tout le monde est bien calmé et nous sommes contents de la pause repas.

Après midi rando avec les potes, nous sommes un petit groupe à partir sur la boucle bleue. 50 km annoncés, facile dans l’ensemble avec pas mal de poussière, un peu de boue quand même et un secteur hard compliqué. Il faut oser monter vite pour passer une zone sans adhérence. Sur le paquet de pilotes attroupés en bas de la montée rares sont les courageux à tenter le coup et finalement un seul franchira l’intégralité de la montée (un guide spécialisé dans les enduros extrêmes…)

Le moment cool de la sortie c’est de se faire rejoindre par Laurent Pidou qui va rester un bon moment avec nous. Quel pied de rouler en liaison en suivant sa roue.

De retour sur le site nous partons vers le chalenge trial. Dur dur de faire de la zone avec la Yam. Je n’ai plus de forces et impossible de sortir de la zone avec moins de 4 pieds. Philippe calme tout le monde en sortant avec 1 pied, avec une 520 de 2002 au pneus bien usés ! Seuls les guides et pilotes pro présent arriverons à sortir de la zone à zéro avec une moto d’enduro.

Direction la zone extreme pour le chalenge Straight rythme une course en parallèle sur la zone de franchissement. Un peu reposé et motivé en regardant les potes rouler je m’aligne au départ.
1er run assez efficace, mais ensuite avec la fatigue je fais deux fois la même erreur en arrivant sur le 1er gros tronc en 2ème. Je suis donc éliminé et franchement cela tombe bien car je n’avais pas assez de jus pour enchainer encore quelques runs.

Dans notre groupe c’est O’rel qui va le plus loin avec une 3ème place après une petite finale tendue. On regarde les pros rouler et c’est un autre monde.

Direction la douche et l’apéro. Bière au chalet, puis à la buvette en regardant le chalenge kart.

Un bon repas qui se ponctue avec les cadeaux liés aux différents chalenges. O’rel fait le carton plein : 1er sur la spéciale chrono, 3ème au trial (Philippe est 1er, Alain 2ème) et 3ème au Straight rythme. En plus il a même gagné à la tombola.

Nous ne sommes pas resté tard au repas, une bande de « parisiens » au comportement de gros lourds gâchant un peu l’ambiance.

Nuit arrosée à partir de 3 heures par un déluge d’eau. Idem au réveil. Quelques pilotes remballent les motos pendant que nous prenons le café.

Antoine notre moniteur de la veille se joint à notre groupe pour la rando du matin sur la boucle rouge. Nous avons du bol avec la météo en tout début de sortie car si le temps est frais la pluie est modérée. La boucle est roulante, mais le rythme est soutenu. Beaucoup de boue au programme et surtout une belle petite grimpette technique cause pas mal de sueurs. Départ d’un pré glissant, prise d’élan en virage et pente bien compliquée.

Ensuite encore du roulant, globalement sage avec quelques moments pour se réchauffer en roulant plus fort. Je suis épaté du comportement de la Yam dans le gras et les ornières, tant que ça pousse elle va droit et les arbres défilent sacrément vite. Un superbe terrain de cross, lieu d’entrainement privilégié de Pichon dans sa période active, nous est ouvert. Il est gorgé d’eau mais top à rouler.

La promenade se termine, certains filent directement à la douche après avoir débarbouillé la moto au jet pendant que Alain va jouer sur la SP1 et que je m’enfonce seul dans la spéciale dans les bois. Si elle était agréable et amusante le samedi, avec la pluie continue elle a pris une autre dimension. C’est très compliqué de garder la vitesse nécessaire même dans les petites montées, j’appréhende par avance la montée signalée hard mais au final la motricité combinée de la WR250F, du pneu neuf et du TUbliss à 600 grammes me hissent au sommet.

Par contre je fais l’impasse sur la zone Straight rythme et je fonce à la douche après avoir un peu lavé la moto.

Il est 14h quand nous passons à table pour encore un très bon repas. Décidément les Auvergnats savent recevoir !

Motos chargés, un dernier coucou aux potes et on rentre en Alsace avec un déluge quasiment continu sur tout le trajet, finalement on a échappé au pire en roulant le matin.

Très content de ce coup de moto, encore plus d’avoir revu des potes trop rarement croisés en ce moment, la vie reprend son cours et la prochaine sortie moto attendra.

Bon ok, c’est pas moi qui ai 35 piges cette année, mais ce n’est pas une raison pour manquer le coup. Surtout que là il y avait un sacrément bon morceau de moto au programme.

Si en Alsace rouler sereinement est une sinécure, il reste heureusement des régions où il fait bon randonner et où la cohabitation fonctionne. Forts de ce constat et avec un guide au top, nous sommes partis à 10 motos pour un trip de plus de 120 bornes à 99% TT.

Pour répondre à la majorité d’autrichiennes oranges ou bleues, deux Yam étaient présentes. Coté 2T on avait un large panel de la 125 à la 300 en passant par les 200 et 250, moins de variété coté 4T avec les vieux en 250 et le jeune en 350.

Impossible bien sur de vous décrire par le menu tous les moments sympas. Il y a bien sur eu de la rigolage, du froid, de la neige, un peu de grésil, un super apéro, un très bon repas, des traces à n’en plus finir, encore pas mal de rigolade et un retour avant la nuit.

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Par moment la chaleur s’échappait des casques et les pauses étaient méritées. Vivement la prochaine sortie.

Voici quelques images pour vous faire partager cette journée.

Mars était un peu frais, mais nous avons quand même profité de bons coups de moto.

Voici quelques souvenirs d’une rando/stage en groupe dans la roue d’Eric.

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=m_dTsGGdc8k

 

Première sortie sur invitation avec la nouvelle moto. Un bon tour avec les potes dans un secteur que je ne connais que trop peu.

Avec un petit groupe ça roule bien, on s’adapte bien sur aux limites de l’éclairage et de la navigation nocturne. Les grimpettes sont longues, il y a du dénivelé dans les deux sens. Le temps est franchement clément et nous profitons également de la vue sur les illuminations des villes et stations de ski. Tout va plutôt bien, l’éclairage adapté sur la WR250F se montre performant et la frontale en complément malgré sa puissance moindre fait très bien son office avec un faisceau large et uniforme.

On jardine un peu, il faut même parfois mettre pied à terre mais le sourire est là. Le petit 4T n’est pas forcément à son aise, mais c’est de toutes façons le pilote qui limite clairement l’ensemble. Dans une grimpette un peu technique, interrompue par un arbre couché, je me plante en partant trop tôt derrière Sergio qui lui même attends que Thomas libère le passage. Impossible de repartir et je n’ai pas envie de forcer sur la moto et je ne suis pas assez lucide pour voir la trace secondaire que Sergio a trouvé, donc demi-tour et nouvelle tentative avec plus de vitesse et surtout une piste dégagée. Tout va bien, mais avec la nuit j’évalue mal la distance qui me sépare de l’arbre et j’arrive trop vite… Je m’envole sur les pierres en freinant et tape le guidon contre l’arbre et je me récupère violemment sur le pied.

Dur de poser le pied, mais il faut redescendre, redresser les pontets qui ont un peu bougé. Les autres redescendent, de toutes façons la montée était un cul de sac et je n’ai plus l’envie de la retenter.

Il suffit de serrer les dents pour finir la sortie et nous arrivons à bon port après une autre bonne dose de grimpettes et descentes sans fin.

A mesure que la cheville se repose la douleur se manifeste. Je suis bon pour rentrer doucement et laisser la moto dormir dans la camionnette.

Bilan, pas de casse sur la moto, j’ai dépassé les 200 Km au compteur et avec cette sortie je peux considérer que le rodage est fini. Il ne me manque plus qu’une petite session cross pour avoir testé la moto sur la majorité des terrains que j’affectionne. Mais pour le moment, aircast et massages sont mes alliés, ainsi que quelques bons bouquins car je vais être privé de badminton et de moto pour quelques jours.

J’ai profité de la sortie neige du motoclub depuis la buvette. Les participants se sont bien amusé, malgré la neige collante. Ils ont échappé aux averses et sont tous rentrés ravis et fatigués.

Au programme de la journée encore une bonne dose de moto avec double sortie. Le matin bien cool avec les potes du forum, on roule en évitant les chasses. Christophe écourte sa sortie sur crevaison. Pour le reste du classique, principalement du roulant avec quelques grimpettes mais on n’a pas tiré dans les réserves.

L’après-midi c’est reprise de contact avec Jo avec qui je n’ai plus roulé depuis plusieurs années. Il étrenne sa nouvelle 250 EXCF 16 pour cette sortie en duo.

Avec lui pas de risques de rester bloqués, on enchaine donc avec un bon rythme les chemins glissants, quelques grimpettes qui piquent et même des passages bien bien techniques. Pas de chasse sur le secteur, quelques coupes de bois qui modifient l’itinéraire et pour finir la pluie qui arrive un peu en avance sur le planning.

Maintenant j’ai les bras qui tirent un peu, une moto à laver et à préparer pour les prochaines sorties, mais quel plaisir de rouler avec les potes.

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Vivement la prochaine.

Depuis 2015 les Yamaha 250 WR-F sont passées à l’injection avec le fameux moteur « inversé » qui équipe les YZ-F. Au passage elles héritent également de l’injection et bénéficient donc des réglages facilités par les outils Yam.

Le YZ Power Tuner est un appareil officiel de chez Yamaha, mis à la disposition du grand public pour qu’il puisse contrôler et ajuster au mieux le comportement moteur en intervenant sur l’injection et l’allumage.

C’est bien beau tout ça mais commençons par un peu de théorie.

L’injection d’essence : appauvrir ou enrichir ?

Moins il y a d’essence dans le mélange air/essence, plus la moto est réactive et nerveuse. Les bas régimes sont violents et les hauts régimes plus limités, réduisant ainsi l’allonge. C’est utilisable avec une adhérence au top, comme un terrain de cross bien préparé, un pré bien sec ou par exemple une spéciale tracée champ de blé récolté. Dans une moindre mesure c’est également utilisable pour compenser des températures extrêmement élevées, même si avec les injections modernes le système s’adapte déjà très bien tout seul.

A l’inverse plus il y d’essence dans le mélange air/essence, plus la moto va gagner en souplesse. Très pratique dans les conditions d’adhérence limitée, fréquentes en enduro avec les prairies humides, les sous-bois glissants. Pour les crosseux c’est également une sécurité complémentaire lors de courses de sable. En effet avec un mélange riche en essence l’échauffement du moteur est limité.

L’allumage (en fait l’avance à l’allumage) :

il est possible depuis pas mal de temps d’intervenir sur ce facteur, c’est classiquement ce que font les boutons de sélection de courbe sur les motos à carbu. On modifiant le programme interne du CDI on peut choisir le moment précis où l’étincelle de la bougie provoquera l’explosion du mélange air/essence. Plus l’avance est élevée, plus l’explosion aura lieu proche du point de compression le plus élevé, augmentant ainsi la puissance et la réactivité du moteur. A l’inverse en réduisant l’avance on va avoir un moteur plus doux. Couplé avec la richesse du mélange cela permet de faire varier très significativement le comportement du moteur.

En résumé :

Richesse du mélange Avance à l’allumage
Comportement standard 0 0
Moteur agressif +
Moteur souple +

 

Pourquoi le power tuner est-il utilisable ?

Avec les réglages à l’ancienne et le motos à carbu, il était toujours compliqué de définir une configuration adaptée aux diverses situations et il fallait souvent faire des compromis délicats. Et dans la réalité une fois le bon réglage trouvé, rares étaient les pilotes qui prenaient le temps d’ajuster la moto aux conditions.

Mais avec l’injection et les systèmes de programmation, il est possible de choisir des valeurs spécifiques pour chaque conditions. En effet on peut avoir envie d’un mélange pauvre en bas régimes pour un moteur qui vous propulse hors des appuis tout en enrichissant les hauts régimes pour conserver une belle allonge. Ou à l’inverse, plus probable en usage enduro, un moteur souple en bas qui va se renforcer par la suite.

Dans le cas précis du power tuner il faut voir les réglages non pas comme une courbe mais comme une surface 3D. Il est en effet possible d’intervenir sur la richesse et l’avance en fonction du régime mais aussi de l’ouverture des gaz.

Pour éviter de faire n’importe quoi et accessoirement gagner pas mal de temps, plusieurs configurations type sont mises à disposition dans le boitier ou dans la doc Yamaha, il est également possible de sauvegarder dans le boitier plusieurs configurations personnalisée pour y revenir très facilement. Il est parfaitement possible d’envisager un changement de configuration lors des sessions cross puis de revenir facilement à des réglages classique enduro ou carrément d’avoir une configuration spéciale pour les sorties jardinage dans la neige.

 

Comment une sortie annoncée roulante peut-elle aussi facilement se transformer en portage de moto ?

Partis pour une rando entre potes, cela commence en douceur mais les coupes de bois laissées au sol, les branches tombées sous le poids de la neige, et le dégel précoce ont compliqué les choses. Un peu têtu sur ce coup là, on a décidé de ne pas changer d’itinéraire… Résultat de bonnes suées, de la rigolade et un peu de franchissement.

Bravo à Nico peu aidé par sa 125 creuse en bas régime et tirant un poil long pour le jardinage. Coté Yam que du bon encore et toujours, la motricité est top, le comportement du chassis est exemplaire. Je m’amuse de plus en plus avec ce joujou.

Place à la video, même si il manque les moments les plus croustillants.

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Les réglages s’affinent et je prends de plus en plus de plaisir à rouler sur cette moto.

Je dois rouler demain, donc pas le temps de la faire briller, voici donc quelques images au retour de la dernière promenade.

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Bientôt de nouvelles images en action.

Sans compter le rapide tour de prise en main en solo, destiné à dégrossir le positionnement des commandes et du guidon, aujourd’hui était venu le moment de la première sortie pour parfaire positions et rodage.

Nico (blablacx) un membre émérite du forum des « Bien Bien Bien » m’accompagnait pour cette occasion.

Je n’ai pas encore pris le temps de monter les TUbliss, c’est donc en chambres d’origine un poil sur-gonflées que nous prenons le départ à la fraiche.
Avec des températures clairement négatives, polaire et gants Néoprène sont de rigueur. Les plaques de glace sont présentes, mais le sol n’est pas gelé en profondeur.

Aujourd’hui c’est roulant, un peu de single et petites grimpettes pour ne pas brusquer la mécanique et faire bosser les suspensions. On se promène tranquillement sur les chemins du coin, profitant du soleil et du ciel bleu. La vue sur le château enneigé est magique.

Mais le pauvre Nico est à la peine avec son pneu bien usé, il galère dans sa recherche de motricité, surtout dans les feuilles humides, avec sa 125.

Première grimpette, avec le sol jonché de branches humides, je manque la prise d’élan et tout de suite le pneu sur-gonflé perd l’adhérence. Je tente néanmoins de monter dans les bas régimes pour jauger le moteur de la nouvelle Yam. Malgré ses montées en régime un peu plus vivaces que l’ancien, il aime bien le mode tracteur et tire la moto en douceur vers le sommet. Pendant que Nico s’occupe de faire une tranchée de drainage… Ma seconde tentative avec une prise d’élan correcte est tout de suite plus efficace.

Un peu de chemin et on attaque une bonne descente dans les pierres humides. Je retrouve le chassis rigide de l’ancienne WRF en plus dur. Les suspensions sont encore d’origine, je me suis contenté de régler la précontrainte. Il faudra très probablement détendre encore un peu l’arrière, enlever un peu d’huile à l’avant voir poser des ressorts plus souples. Mais en tout cas la moto tire bien droit.

Place à une bonne montée, dès le début je me mélange les pinceaux dans le choix des vitesses. Le passage de la boite 5 à la boite 6 n’est pas sans conséquences du l’étagement. Le moteur étant encore en rodage j’ose pas ouvrir en grand, je suis donc bon pour une nouvelle tentative. Même en rodage et dans les mi-régimes, le moteur est définitivement plus fort. Les montées en régime sont bien vives, il faut être un poil plus vigilant qu’avec l’ancienne.

Nico reste en bas, nous contournons donc et c’est l’occasion de tester la maniabilité et le départ dans la pente. Que du bon à nouveau, décidément j’adore cette moto.

Maintenant je cherche un peu plus de pente, mais dans un chemin défoncé par les débardeurs le pneu de Nico ne fait que glisser, on prend donc l’itinéraire bis et ses rochers. Premier jardinage avec la moto, elle se comporte bien, en tout cas largement assez bien pour ma pauvre condition.

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Asphyxié par la clope et le manque de sport Nico est à la peine, on rentre donc tranquillement pour tenir l’objectif horaire.

Le bilan de la sortie est très positif ! Les premières vraies sensations sur la moto sont très bonnes et je suis impatient de voir l’évolution avec un pneu à la bonne pression, des suspensions un peu plus rodées et un pilote moins fatigué. La position est perfectible, j’ai l’impression que le guidon est un peu plus galbé vers l’arrière que sur l’ancienne moto, mais avant de changer je vais d’abord enquiller quelques sorties.

 

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Pour ceux qui m’ont posé la question voici un récap de l’équipement de la moto :

  • plastiques et plaque phare UFO
  • protections de radiateurs AXP
  • sabot AXP
  • protège-mains RTech FLX Alu
  • protections de bras oscillant Polisport
  • silencieux Akrapovič WR250F
  • filtre à air Funnelweb Filter

 

Voila c’est fait le nouveau joujou est à la maison.

Merci à Charlymoto Racing pour les équipements et accessoires.

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Premiers contacts très très satisfaisants. Il y a une sacré progression depuis l’ancienne WRF. Je vais me régaler.