Sorties, promenades, randonnées ou entraînements.

Aujourd’hui le soleil est présent mais le panorama se limite aux multitudes de lignes de code et à la machine à café.

Un coup de fil et hop la session est organisée pour une fin de journée un peu active. Ça commence par une livraison de Pinot Noir rosé à domicile, puis par le doux bruit du 4T en approche.

Ce soir ce sera full 250 4T sur les chemins. Nous enchainons les sections techniques et constatons que les dernières intempéries n’ont pas été sans effet. Plusieurs fois nous devons prendre un peu de temps pour dégager les branches tombées en travers des chemins. Comme ça ce sera moins pénible la prochaine fois qu’un vtt ou un marcheur passera par là.

L’arrivée sur un sommet est l’occasion d’une petite pause philosophique. En profitant ainsi du soleil déclinant et de la vue sur la nature si verte, nous sommes tout simplement heureux de ce moment. Bon hop, on est surtout là pour rouler. Direction la maison avec quelques sueurs supplémentaires.

Au compteur 1h28 pour 46km et 1670D+. Heureusement qu’on avait les moteurs.

Conclusion de la sortie par la mousse de rigueur et un repas partagé en racontant les aventures passées et surtout en planifiant les prochaines.

La vie est belle, il faut en profiter !

Entre les sorties qui finissent en jardinage et celle où il n’est pas possible d’enchainer plus de 30 bornes ce n’était pas évident de se préparer à deux jours de moto. La Val de Lorraine est dans un peu plus d’une semaine et pour en profiter pleinement nous avons organisé une sortie sur la journée.

Objectif rouler en cadence liaison soft, s’adapter à ceux qui n’ont aucune expérience de la course et ne roulent en enduro qu’en rando.

Le départ est donné un peu après 9h le temps de papoter un peu et de définir les objectifs de la journée. On roule en mode liaison L3 en essayant d’éviter le faux rythme 😉

L’alternance de chemins de tous type ne nous propose pas de franchissement mais quelques grimpettes un peu techniques à l’image de ce qui compose une liaison enduro soft.

Meux trouve bien ses repères et on en profite pour caser des conseils et même un atelier reprise de grip en montée truffée de racines et pierres.
Les élèves sont appliqués et la mise en pratique efficace.

Les pauses sont volontairement réduite, on est pas là pour causer mais pour rouler. Donc pas question de reprendre son souffle à chaque croisement. Nous essayons de respecter des « CH » d’environ 45 min / 1 heure.

Midi sonne mais on roule encore les deux premiers points de ravitaillement fermés nous conduisent sur une bonne adresse pour recharger les « pilotes » : l’auberge de la Bonne Fontaine à Waldersbach.

Le retour est dans la même veine, on trouve encore de la neige et il est nécessaire d’ajuster l’itinéraire pour quitter les montagnes. De retour en bordure de plaine on trace des bords sur les chemins entre vignobles et forêts. La fatigue rend le pilotage moins précis et la cadence chute significativement.

Voila après une tentative de drague un peu maladroite de Meux nous rentrons avec 160 km au compteur des motos. La mousse de fin de journée est bien méritée, maintenant il faut se remettre au travail 🙁

Petite, voir même toute petite, forme aujourd’hui pour les participants à une sortie pourtant annoncée soft.

en mode boulets

Entre les convalescences et les motos espagnoles en fin de vie, dur dur de faire tourner les roues.

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Après une longue période d’inactivité la reprise du trial s’annonçait compliquée, mais je ne pensais pas finir la sortie dans cet état.

Tout commence par un peu de mécanique pour remettre la moto en route puis direction les premières zones. Le sol est gorgé d’eau et les pierres roulantes sont pénibles à aborder.

On change de secteur pour trouver un sol plus porteur et s’éloigner des chasseurs en vadrouille. JM me montre une belle zone typée S3 variée et longue, trou avec racines, passage entre des arbres, virage dans les feuilles avant une grimpette raide, demi-tour sur racines et descente en virage, passage dans un trou entre des parpaings, remontée avec virage en dévers gras pour retourner entre des arbres avant d’attaquer une marche entre les racines en fin de montée. Du tout bon pour bosser les positions et chercher la fluidité.

Le premier passage est pas trop mal, avec malheureusement des pieds posés dans le dévers et une marche franchement aléatoire. Attaquer le passage du dévers en première n’était pas la meilleure des idées. Je retourne dans la zone et pense bien à aborder le dévers en seconde. Malheureusement je suis mal positionné sur la moto et un coup de gaz malencontreux me déséquilibre et je bascule dans le trou.

Impact dans les parpaings et réception de la moto sur le dos (pour ne pas trop l’abimer…). Je suis coincé sous la moto et JM me délivre. Je suis bien sonné mais sans bobo apparent.

La moto est peu marquée, avec quelques éraflures sur les autocollants, un impact sans conséquence sur le bas de la fourche. Le plus pénible est la gaine de gaz écrasée par impact entre le guidon et les pierres, la poignée est dure et les gaz ne reviennent pas.

Je reprend mes esprits pendant que JM passe la zone tout en finesse et joue sur les marches. Puis on joue la sécurité et on rentre par la route après seulement deux heures de moto.

Après un peu de repos le bilan est heureusement léger, des contusions, un trou peu profond dans le coude. Les pièces nécessaires à la remise en route de la moto sont déjà commandées, il ne reste plus qu’à patienter un peu avant de rouler.

 

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Capture d’écran 2015-01-10 à 22.02.01

Coté neige la météo n’est pas à la fête. Les températures sont carrément clémentes mais les chasses sont un peu trop présentes pour rouler sereins sur les chemins du coin.

Une invitation tombe donc à pic pour une sortie annoncée peu roulante. Le groupe est constitué, je me contente de m’y greffer. Et bien sur, franchissement oblige, je me retrouve seul 4T isolé entre les cylindres à trous.

On commence par une mise en jambes relax sur de grandes pistes rendues glissantes par le dégel, heureusement avec l’altitude et les chemins moins fréquentés l’adhérence s’améliore. La température est carrément printanière et je profite de la première pause pour enfiler des gants moins chauds.

La trace se corse un peu entres les travaux forestiers et les arbres couchés par les derniers coups de vents. Un des participants jette l’éponge, il est dans un mauvais jour et n’arrive pas à rouler. Il rentre donc tranquillement par la route pendant que nous continuons nos aventures. Le guide connait bien la région et nous concocte un programme parfait, jamais très roulant et avec quelques passages où il faut s’appliquer pour passer. Dans ces moments là je regrette la 300 et surtout maudit mon pneu arrière qui n’agrippe plus grand chose. Avec la petite yam ça passe, mais il faut oublier la méthode douce.

Nous prenons le repas au soleil avec un panorama splendide. On trinque un petit coup pour l’anniversaire du plus jeune du groupe.

La boucle nous conduit à la station service, passage obligatoire pour les 2T qui consomment.

Et ensuite retour dans les chemins de montagne et reprise des grimpettes. Certains passages sont de vrais champs de mine, défoncés par les débardages et jonchés de branches glissantes. La texture du sol est changeante, du boueux au sablonneux. Il ne faut pas hésiter longtemps pour arriver en haut.

Une dernière séance freeride et c’est le retour avec la petite mousse qui va bien à l’arrivée.

Bilan super positif pour cette belle journée. Un guide au top, des partenaires sympas et une moto qui marche bien. Il y aura quand même un peu de mécanique, car le pneu arrière est vraiment sur la fin et j’ai tordu la pédale de frein arrière dans les branches.

Le ciel est bleu mais les températures glaciales. Le thermomètre m’affiche -8°C.

Histoire de ne pas prendre de risque mais de rouler quand même un peu, c’est la moto de trial qui est mise à contribution.

DCIM100GOPROGOPR0333.

Avec la terre gelée et la couche de neige qui augmente avec l’altitude c’est compliqué de faire le tour prévu. J’ai quand même bien profité du beau temps avant d’attaquer la fin de l’année.

Chouette, encore un bon tour de moto avec les potes. Grace à l’invitation d’un pote, ce qui devait n’être qu’une session cross à Saales c’est transformé en rando de presque 100 bornes.

Le guide maitrisant bien son sujet, à su nous faire passer entre les gouttes et les battues pour trouver beaucoup de boue et un tout petit peu de neige.

En plus des classiques racines et roches glissantes, nous avons eu droit à un petit spot freeride qu’il faudra exploiter plus intensément quand il sera moins détrempé.

http://youtu.be/r5eIL_Q4d3I?width=550&height=415&vq=hd720

 

La météo est bizarre en ce moment, idéale pour alimenter les discutions de comptoir et les potins avec les voisins.

Par contre pour rouler c’est autre chose, heureusement le ciel était avec nous pour ce roulage à Saales.

Pattes un peu mou, mais un Mimi plein de bonne volonté et motivé pour franchir un peu.

Sous l’impulsion d’Eric, fervent promoteur de la discipline, les membres du MC Centre Alsace se sont retrouvés pour une session découverte du trial moto.

30 novembre 2014-152038

Beaucoup de membres, habitués ou non du TT étaient présent malgré la météo maussade et un large choix de moto allant de la 80 à la 300 étaient à la disposition des pilotes.

Pour le terrain d’évolution, nous avons bénéficié d’un accueil souriant et généreux du Hohwald.

Au programme de l’après-midi présentation des motos, prise de contact avec les commandes, les positions et les premières évolutions. Après plusieurs ateliers sur le plat et devant la bonne progression de tous, les ateliers se sont corsés avec un peu d’amusement dans les dévers humides.

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Bilan final plus que positif avec le sourire pour tout le monde et un bon moment de convivialité entre membres.

Novembre est bien là, les températures sont fraiches et une brume épaisse recouvre les vallées. Malgré ça, le groupe est présent à l’heure pour se dégourdir les roues en suivant l’inénarrable Pattes dans un trip humide.

Départ en douceur avec le masque rapidement maculé de bruine, c’est pas maintenant qu’il faut allumer la caméra. Le groupe taille son chemin avec les premiers blocage dans de traitres ornières ou de belles branches bien lisses et humides.

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