https://i0.wp.com/moto.postif.info/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20210328_095217-Crop.jpg?fit=2228%2C1671&ssl=116712228ScotchEhttps://moto.postif.info/wp-content/uploads/2018/01/logo_2018.pngScotchE2021-03-29 09:50:152021-03-30 09:00:27Rouler chargé pour se préparer
Le GRAXX est arrivé monté par Origine avec des pneus Continental Trail Speed en 35mm. Très polyvalents, bien roulants et finalement adaptés à quasiment toutes les situations rencontrées.
Néanmoins dans quelques circonstances je me suis mis à désirer plus de grip et un peu plus de confort pour supporter mes trajectoires aléatoires et accessoirement un peu de charge pour des sorties en itinérance. L’envie de nouveaux pneus s’est donc imposée et après de long errements à la recherche de conseils et recommandations je pense avoir trouver la réponse à mes multiples critères.
Qui dit nouveau vélo dit forcément nouveaux pneus. Convaincu des bienfaits du tubeless et souhaitant des pneus européens*, c’est donc vers Continental et ses TERRA SPEED en 700×35 que je me suis orienté.
D’après les différentes sources d’information, ces pneus sont annoncés comme bien équilibrés entre usage route et gravel pas trop engagé.
Ils sont montés sur mon GRAXX avec des roues Fulcrum Rapid Red 300, j’ai utilisé du liquide préventif Muc-Off et les valves tubeless fournies avec les roues.
https://i0.wp.com/moto.postif.info/wp-content/uploads/2020/10/IMG_20201027_153616-scaled.jpg?fit=2560%2C1920&ssl=119202560ScotchEhttps://moto.postif.info/wp-content/uploads/2018/01/logo_2018.pngScotchE2020-10-28 19:48:392021-03-22 17:38:32Continental TERRA SPEED
et cela sent bon pour trouver une configuration qui me convient.
Coté Griffus, la bonne tendance se confirme et ils sont passés sur plusieurs de mes traces de référence. Il ne leur manque plus qu’une sortie humide (la météo me dit que c’est pour bientôt) et éventuellement un coup de gros bike-park pour avoir fait le tour de mes besoins.
Il ont maintenant 90 km et 3200 D+ dans les carcasses et sont comme neufs.
Les sensations au roulage sont bien sécurisantes et même sur les grosses pierres de notre « DH Cailloux » ils sont restés efficaces.
Je vais continuer de collecter des infos car ces pneus vont rester en place pour la prochaine course dans les Vosges.
Coté pédales c’est du bon également. Après le test de différents modèles prêtés par le magasin MN Bike à Chatenois, j’ai craqué pour des Look X-Track EN-RAGE Plus. Je retrouve donc la facilité de clipsage que j’avais apprécié sur les EN-RAGE classique avec l’ajout d’une plateforme et de picots qui me seront utiles dans les passages où je ne suis pas encore assez confiant pour passer pieds attachés.
Accessoirement, j’ai profité d’un peu de temps libre sur le week-end pour passer le vélo de Léo en tubeless, raccourcir un poil ma durite de frein arrière et purger les TRP. Je ne compte pas le temps de mécanique sur les BMX et le vélotaf de madame, sinon je vais avoir l’impression de n’avoir rien fait d’autre 😉
C’est ma lubie du moment, j’ai remonté des pédales automatiques sur le VTT. Au début c’était juste comme ça, pour voir ce que cela donnait car le précédent test en février n’avait pas été concluant et j’avais rapidement remonté les pédales plates pour les sorties « engagées » (comprenez casse-gueule).
Et après une première sortie dans la roue de Xavier avec les Time Attack Z-Strong, décidé à persévérer dans de bonnes conditions, je passe chercher quelques conseils chez MN Bike. Et comme rien n’est plus probant qu’un test, ils me confient deux paires.
J’ai commencé par les Look X-Track En-Rage. Ces pédales ont déjà pas mal roulé et présentent des marques d’usage classique. Elles sont réglées assez fermes alors que les autres pédales, des Shimano XT Trail sont réglées plus souples.
Premier constat, elles sont précises à l’accroche et franches pour déclipser.
Au pédalage rien à dire, elles font le job. J’ai du un peu ajuster la position des cales sous les chaussures pour trouver le bon équilibre.
Petite partie technique en montée, je suis encore sur la défensive et je déclipse par sécurité quand la roue attrape une ornière. L’appui sur la pédale sans clipser n’est pas idéal et je dois poser pied à terre, je pense que les versions plus avec la grande cage et les picots doit régler ce problème.
C’est maintenant l’occasion de constater que les cales SPD sont un poil moins gênantes que les cales Time pour la marche. Un bon point qu’il faudra confirmer par la suite.
Départ en côte sur terrain glissant, il faut vite clipser sous peine de perdre le contrôle du vélo. C’est naturel et je trouve facilement et à chaque fois la bonne position. C’est légèrement plus intuitif qu’avec les pédales Time.
En descente c’est pareil, tant que le pied est bien clipsé c’est net et précis, la libération est naturelle, mais à nouveau dans un passage sans clipser c’est compliqué de trouver un appui sécurisant.
Maintenant que tout est réglé, place à un vrai test avec un bon tour all-mountain voir même enduro si l’occasion se présente.
PS. le test des Griffus continue bien entendu et chaque sortie apporte son lot d’informations. Maintenant les deux roues sont en Tubeless et j’ai trouvé les pressions qui me conviennent.
Grâce au site 26in.fr et ses tests privés j’ai réceptionné un train de pneu Hutchinson Griffus en 29″ afin de les tester dans mes conditions classiques de roulage.
Les pneus attendaient sagement dans leur carton et j’en enfin trouvé le temps et l’envie de les monter à la place de mes Maxxis de référence.
Au premier contact, la gomme qui est annoncée différenciée est bien tendre sur les cotés et à peine plus ferme au centre. Compliqué de se faire une idée fiable, mais cela promet du grip.
Pour l’avant je monte le 2.5 à la place d’un DHF EXO/TR également en 2.5, si le pneu s’installe facilement sur la jante (RaceFace AR30) il a un peu de mal à claquer même avec le préventif et je dois passer une cartouche de co2 à défaut de compresseur.
A l’arrière où il va remplacer un Aggressor 2.3 EXO/TR c’est encore pire et après avoir tenté le coup avec deux cartouches de co2 je me résout à monter provisoirement une chambre à air.
Le profil et la taille des pneus est très proche des Maxxis, donc pas de surprise bonne ou mauvaise. L’arrière est un peu plus massif que l’Aggressor et se compare plus au DHF que j’utilise également. Cela tombe bien pour le test, je vais avoir des points de comparaison.
Premier roulage en reprenant les pressions que j’utilise habituellement sur les Maxxis.
En venant de l’Aggressor ça colle un peu à l’arrière, mais un peu moins qu’avec le DHR. Je commence par du roulant puis une petite montée au train. Jusque là rien à dire, mais franchement c’est tellement sec en ce moment que ça passerait avec n’importe quels pneus.
Premier secteur descendant avec du large défoncé d’ornières où il ne reste qu’une petite portion de chemin pour rouler en sécurité. Les pneus guident bien et tiennent dans le dévers.
On attaque le single suivant, l’avant est précis sans marquer de gros points par rapport au DHF que je connais par coeur. Un passage en dévers sur des racines sèches permet de vérifier que le grip est là. Le pneu semble plus travailler sur la gomme sans s’affaisser, il me donne une bonne impression de précision.
RAS pour l’arrière, il est dynamique dans la relance et efficace au freinage.
C’est reparti pour une montée où effectivement le Griffus est manifestement plus lourd à entrainer que l’Aggressor, mais comme je suis monté en chambre alors que l’Aggressor était en tubeless je vais devoir attendre pour avoir une opinion définitive. Il semble quand même mieux rouler que le DHR.
Un peu de jardinage en montée, le grip est bien là et pas de dérobade sur les pierres sèches ou les racines.
C’est reparti pour une descente avec une belle longue relance au milieu (sinon c’est pas drôle). Je suis en confiance et dans des conditions de grip pourtant limite (terre bien sèche, graviers par endroit et brindilles) les pneus sont précis et me permettent de placer le vélo correctement.
Je remonte vers une autre trace et dans un dernier chrono perturbé par la fréquentation du chemin j’ose lâcher les freins autant qu’avec mes pneus classiques. Aucun piège ni mauvaise sensation.
Pour terminer du jardinage dans un chemin défoncé avec pierres coupantes, épine, branches cassées et autres éléments perturbateurs. Rien à signaler ça tient au sol.
Je rentre à la maison satisfait de cette prise de contact. (18,7 km / 560 D+).
Petit rappel du contexte du test.
Rocky Mountain Instinc BC en taille L. Roues d’origine : RaceFace AR30 asymétriques 30 mm de largeur interne « Pilote » 1,80m 90 kg niveau intermédiaire. Usage all-moutain / enduro
Quand on pratique des sports de nature et dans le cas présent le VTT, les bobos font partie du jeu. On dit même souvent que c’est le métier qui rentre.
La dernière chute en date est à mettre au compteur de mon fils ainé. Juste la « carrosserie » qui est rayée mais un peu de soins quand même pour optimiser la cicatrisation et bannir l’infection potentielle.
A la maison c’est facile, car au fil du temps et des aléas, on a constitué une pharmacie bien fournie. Mais quand il s’agit de partir en vacances ou en week-end la trousse de secours est incontournable.
Dans notre trousse vous allez donc trouver :
4 x 2 petites compresses stériles 5 x 5 cm
4 x 2 grandes compresses stériles 10 x 10 cm
8 compresses nettoyantes stériles pré-imbibées
2 Steri-strips
3 dosettes de sérum physiologique
2 bandes type velpeau
1 bande cohésive (qui colle sur elle-même sans coller à la peau)
1 petit rouleau de sparadrap
20 pansements adhésifs « étanches » de tailles diverses
1 couverture de survie
1 pince à épiler
1 paire de ciseaux qui coupe bien
2 paires de gants
1 tire-tiques
1 petit savon
20 euros
Avec ça on peut traiter la majorité des bobos courants en vtt et assurer le retour à la maison. Il ne faut bien sur pas oublier les basiques, à savoir une carte du secteur, un téléphone « solide », les outils de base dans le sac à dos et de quoi grignoter sucré pour remonter le moral après la chute.
Par expérience la trousse de secours agit comme le kit de réparation. A l’image des rustines, on a étrangement moins de chance d’en avoir besoin quand on y a pensé…
Et comme dise les amis d’enDHurobike « ridez bien, ridez safe ».
Les supports livrés avec mon GPS Garmin sont certes solides voir même pratiques dans certaines circonstances, mais ils s’avèrent inadaptés à mon VTT.
La version de base se fixant sur la potence n’est carrément pas adaptée et la version déportée qui se fixe au guidon ne place pas le GPS dans la position idéale.
Je me suis donc attaqué à une nouvelle version de support, adaptés à mes souhaits et contraintes.
guidon de 35mm
potence courte
souhait d’avoir le vtt au centre de la potence
possibilité de soulever facilement le support pour vérifier les serrages
compatible avec l’attache « rapide » du GPS
Voila donc le résultat de cette modélisation réalisée avec OnShape.
L’impression sera confiée à ma Prusa MK3. Pour des raisons de cout, mais également de vitesse et de stock, les premiers protos sont réalisés avec du filament PLA blanc.
Le support a été validé lors de sorties d’entrainement et même en course à Bussang lors du Cannondale Enduro Tour.
Prochaine étape, impression d’une version finalisée en PETG noir pour plus de solidité et de discrétion.
https://i0.wp.com/moto.postif.info/wp-content/uploads/2019/06/35_Mount_v5_5.jpg?fit=3166%2C2746&ssl=127463166ScotchEhttps://moto.postif.info/wp-content/uploads/2018/01/logo_2018.pngScotchE2019-06-20 10:43:492019-06-20 10:44:25Support de GPS pour VTT imprimé en 3D
Dernière ligne droite avant Bussang / Saint-Maurice où nous allons rejoindre les participants au Cannondale Enduro Tour.
Après une dernière sortie pour le plaisir et un coup de badminton pour la sueur, place maintenant au lavage de vélo et au repos pour arriver avec des batteries suffisamment chargées au Ballon d’Alsace dimanche matin.
Nous aurons le plaisir de côtoyer Florent, bien sur pour rester entier je vais même pas tenter de le suivre, mais ce sera amusant de le revoir dans ces circonstances.
J’ai également profité de quelques moments de calme pour refaire mon support de GPS qui n’avait pas du tout apprécié la dernière cabriole.
Le premier proto a été imprimé en PLA Blanc, je vais ajuster quelques réglages et passer au noir (PLA ou PETG) pour la version définitive.
Vous le savez, j’adore l’impression 3D pour les cotés ludiques et utiles. Mais trouvez du bon filament à un tarif raisonnable n’est pas toujours évident.
Après avoir testé divers produits premium ou low-cost j’ai maintenant identifié les filaments qui vont bien pour mes différents besoins.
Pour tout ce qui est déco, essais ou autres impressions sans grande contraintes mécaniques, le PLA est idéal. A condition d’avoir bien sur d’avoir un fil de qualité constante et facile à imprimer.
Quand il faut plus de performances mécaniques, par exemple pour mes supports GPS ou autres pièces destinées au VTT j’utilise du PETG. Ce filament un peu plus compliqué à imprimer offre une très bonne résistance aux chocs ainsi qu’aux UV. En prime il est compatible avec le contact alimentaire. C’est avec ce PETG que j’ai imprimé mes inserts pour plaque phare pour la moto d’enduro.
Pour en venir au fournisseur, CharlyMoto Racing est également utilisateur d’imprimante 3D et vient d’ouvrir une nouvelle boutique en ligne charly3d.fr où il propose des filaments sélectionnés pour leurs qualités à des prix bien placés.
Charly3D est le distributeur exclusif en France de 3DFiL une marque d’origine Tchèque. Le stock est basé en France, donc les envois sont rapides et efficaces.
Mon produit coup de coeur pour les impressions techniques : le PETG noir. alors que pour les prototypes et les bricolages je préfère le PLA blanc ou orange.
https://i0.wp.com/moto.postif.info/wp-content/uploads/2019/04/JCH22555_web.jpg?fit=2000%2C1022&ssl=110222000ScotchEhttps://moto.postif.info/wp-content/uploads/2018/01/logo_2018.pngScotchE2019-06-13 06:51:432019-06-12 17:24:39Charly3D, mon nouveau fournisseur de filament pour imprimante 3D